Maladie Mentale : Comment bien prospecter en B to B ?

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Lors de l’évaluation d’une demande d’AMM - indépendamment des diagnostics du demandeur - un clinicien doit examiner attentivement si les circonstances de la personne sont une fonction de l’inégalité systémique. Nous illustrons ainsi le fait que ces deux concepts ne s’opposent pas et qu’un diagnostic, ou l’absence d’un diagnostic, ne définissent pas la personne ni ses expériences. Nous avons mentionné leur influence sur le contenu du rapport, le cas échéant. Les travaux du Groupe ont donné lieu à des recommandations formulées dans le présent rapport, lesquelles reposent sur les connaissances et les expériences collectives des membres du Groupe. Or connaître les maladies, leurs symptômes et les acteurs impliqués dans leur prise en charge constitue autant d'informations primordiales pour aider les familles et les personnes malades. Le Groupe d’experts sur l’AMM et la maladie mentale (le Groupe) a été créé par le gouvernement fédéral en août 2021. Dans son mandat (annexe A), le Groupe a été informé que son rôle n’était pas de débattre sur la question de l’admissibilité à l’AMM des personnes dont la maladie mentale est le SPMI. Recommandation 12(b) Avec le consentement du demandeur, les évaluateurs et les prestataires devront obtenir des renseignements supplémentaires pertinents pour l’admissibilité et l’évaluation de la capacité.

Dans les cas où une évaluation approfondie des interventions passées est nécessaire pour établir l’incurabilité et l’irréversibilité, où le demandeur doit recevoir des renseignements exhaustifs sur les options existantes, il est essentiel qu’au moins un des évaluateurs soit certifié par le Collège royal des médecins et chirurgiens du Canada dans une spécialité qui couvre la condition du demandeur. Cependant, le Groupe a pris contact avec quelques organisations : la Fédération des ordres des médecins du Canada (FOMC), l’Association canadienne de protection médicale (ACPM), le Service correctionnel du Canada (SCC) et Inclusion CanadaNote de bas de page 6, ainsi qu’avec plusieurs évaluateurs et prestataires de l’AMM dans quatre provinces disposés à donner leur avis sur leur expérience relatives aux demandes de la « voie 2 ». Le Groupe a discuté de ces questions et suggestions à la lumière du projet de loi C-7 (en particulier des lithium coût nouvelles mesures de sauvegarde pour la « voie 2 »Note de bas de page 5), des décisions judiciaires relatives à l’AMM, des pratiques et de l’expérience actuelles en matière d’évaluation de l’AMM, des ressources en matière de soins de santé mentale, des arguments soulevés dans la littérature universitaire, de l’expérience et des pratiques dans les pays du Benelux et en Suisse et des perspectives des demandeurs potentiels, y compris les personnes ayant une expérience vécue et celles issues de communautés historiquement marginalisées, en particulier les peuples autochtones, les personnes handicapées thorazine effets secondaires et les personnes incarcérées.

Dans son examen complet de la recherche et des connaissances pertinentes concernant l’AMM lorsqu’un trouble mental constitue le SPMI (AMM TM-SPMI), le Conseil des académies canadiennes (CAC)Note de bas de page 7 a recommandé l’utilisation du terme clinique standard « troubles mentaux ». Le Groupe a estimé que les critères d’admissibilité et les mesures de sauvegarde existants concernant l’AMM, renforcés par les lois, les normes et les pratiques en vigueur dans les domaines connexes des soins de santé, peuvent fournir une structure adéquate pour l’AMM TM-SPMI tant qu’ils sont interprétés de manière appropriée pour prendre en considération la spécificité des troubles mentaux. Certains jeunes croient que les difficultés qu’ils éprouvent sont un signe de faiblesse ou que leurs sentiments sont injustifiés. L’incertitude de l’avenir ne s’apparente pas un risque qu’ils sont prêts à assumer. L’alimentation, dont on sait qu'elle a un impact sur le fonctionnement de notre immunité et sur la survenue d’une inflammation chronique, peut, elle aussi, favoriser ou, au contraire, diminuer le risque de survenue de dépression. Le fait que les demandes d’AMM puissent masquer des besoins profonds non satisfaits ou, à l’inverse, que ces demandes ne soient pas reçues avec le sérieux qu’elles méritent a été soulevé à l’égard de plusieurs populations historiquement marginalisées (par exemple, les groupes racialisés, les peuples autochtones, les personnes vivant avec un handicap, et les minorités d’orientation sexuelle et de genre).

La sémantique du handicap est à l’origine une sémantique optimiste, voire prométhéenne, en tout cas compensatrice, avec l’ambition de gommer le plus possible les infériorités pour qu’elles ne restent pas des infériorisations. Par conséquent, l’un des résultats possibles est que le Groupe ne puisse pas remplir son mandat. Le Groupe a commencé ses travaux le 26 août 2021, en tenant sa première des quatorze réunions bihebdomadaires. Le 17 mars 2021, le projet de loi C-7, Loi modifiant le Code criminel (aide médicale à mourir) a reçu la sanction royale, puis est entré en vigueur. Ce projet de loi a modifié la loi sur l’AMM initiale du Canada de 2016, le projet de loi C-14, Loi modifiant le Code criminel et apportant des modifications connexes à d’autres lois (aide médicale à mourir). Le projet de loi C-7 comprend trois dispositions relatives à l’AMM pour les personnes atteintes de maladies mentales. Le Groupe a également communiqué avec deux psychiatres d’autres pays ayant une expérience directe de l’évaluation et de la prestation de l’AMM pour les personnes atteintes de maladies mentales, et/ou de l’expérience de la recherche dans ce domaine, afin d’obtenir des informations précises qui ne seraient pas accessibles autrement. D’autant que dans 40 % des cas, la personne vit toujours chez ses parents ; et que dans plus de 70 % des cas, la famille est très impliquée.

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